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Diaspora
(posté le: 02.11.2005      par  Mme Tiki Musango . )



Que doivent attendre les Sawa du mboa de la diaspora ? Quels doivent être les rôles de cette diaspora ? Et comment améliorer la coopération entre les Sawa de la Diaspora et ceux du Mboa?



Envoyé par:  Mr Dikobe MetusalaDate:  26.05.2006 [11:22]
Le masque tombe t-il déjà ?

M. Alphonse Mpeke Bonjour,

Suite à votre missive qui m’a été routée hier par M.Dikobe Metusala, il m’a semblé nécessaire d’apporter quelques éclaircissements tel que vous le souhaitiez.

Il est important, voyez vous, pour moi de lever quelques équivoques au risque de perpétuer le climat honteusement détestable que vous faite régner entre au sein de la famille Sawa. Et ce manifestement à des fins d’héroïsme dont j’en ai aujourd’hui la preuve.

Mon premier souhait, et je ne m’en cache pas, est qu’au terme de cette réponse (une de plus) vos supporters qui demeurent encore aux aboies décryptent enfin le personnage manipulateur qui se cache derrière cette austère pédagogie que vous dispensez à tout va. J’ai eu beaucoup de peine à vous lire. Car lorsque vous plantez votre invariable décor d’insultes et de lamentations ennuyeuses, on est impatient d’arriver au pied de page de cette vraie fausse révolte qui nous est désormais imposé par votre verbiage. Mais puisque c’est à chaque fois le même menu, il n’ y a cependant trop de difficulté à vous répondre.

Comme vous l’avez bien dit, vous voulez bien tolérer ‘’mon ignorance’’sur ma culture Batanga. Je vous suis reconnaissant de cette magnanimité pour autant qu’elle soit dénuée de toute pédanterie. En étant arrière petit enfant Batanga, chose que vous ne pouvez changer hélas, c’est avec fierté que je me rends chez les miens à Kribi pour mettre un d’eau d’océan dans ma vie. C’est une culture que je porte en moi au plus profond des mes gênes et je ne permettrai à quiconque, aussi expert fut-il de cette généreuse culture, de trouver en moi les frontières et les bornes de ma part Batanga par rapport à celle Malimba. C’est avec plaisir et enchantement que je vous déroulerais volontiers (si cela était nécessaire) la descendance de ma bien aimée feu arrière grand-mère, Madame Eboko de Ntanga Mu Mbedi. En moi j’essaie de porter quotidiennement les valeurs de générosité, de simplicité et de pondération que vous êtes incapable, vous, de refléter au regard dans vos discours ringardisant.

Voire péjorative est bien connu de ceux qui trouvent un malin plaisir blâmer là ou il faut simplement recrtifier. Vous êtes l’archétype même du personnage foncièrement grincheux et peu attachant . C`est-à-dire un homme le contraire même de ce que n’exige pas l’authenticité de la noblesse Batanga. Votre insinuation sur mon prétendu mépris pour ma propre culture Batanga n’a donc rien de drôle. Le style badin et réducteur qui accompagne les allégations graves que vous me prêter à l’idée que je me fais de ma propre culture Batanga est le pire des procès d’intention que ne sont capables que les acteurs de la zizanie.

Ce malin jeu qui n’a dont pour seul et unique objectif que le mépris des autres et la popularisation de votre personne aurait été irrépréhensible si vous ne mettiez pas violemment en cause d’autres personnes.

Rappelez-vous seulement des remarques fraternelles que vous a faites notre sœur Ndedi Priso il y a quelques semaines au sujet des vos incessantes récriminations qui n’arrêtent pas de nous cingler sur peuplesawa.com. Vous n’allez pas me dire M. Alphonse Mpeke qu’en matière de recherche en Sciences de l’Education vous n’êtes qu’attaché à expérimenter un seul model pédagogique : celui de culpabilisation tout azimut de vos élèves.

Permettez moi Monsieur le psychothérapeute de plaindre aussi votre patientèle. Car comment ne pas imaginer qu’ils repartent sans cesse de votre cabinet sans mot dire parce que vous les condamner à vous écouter plus qu’a les faire parler.

Sur le terrain même de la Sawanité, vos points de vue sont finalement un concentré d’éléments rabaissant et provocateur. Et c’est là toute la peine qu’on éprouve en vous lisant. J’allais dire en vous épelant. Vous êtes de ceux là même qui sont persuadés que pour exister la délation malsaine est un risque inévitable à courir. Et moi, je suis persuadé exactement du contraire. Pire encore, comme je l’ai dis une fois, vous vous emparer malicieusement des émotions des autres pour en faire une colère d’emprunt dans double but d’exceller sur le terrain de la morale et de liguer une partie des affligés contre un ennemi que vous désignez. Cette démarche porte une nom, c’est ce que les psychologues nomme la théorie de la victimisation. Tout cela n’est-il pas autant machiavélique et finalement plus fratricide que le manquement observé dans le livre des sieurs Bekoè et Ndoumbe. Alors même que la polémique de ces derniers jours s’étiole, pourquoi continuez-vous jouez au justicier de service.

Je prendrais mille et une nuits pour vous conter de belles histoires d’amour et d’affection entre Ilimbè, Tanga, Ewalè , Epungè et les autres frères ; mais dans l’état d’esprit où vous êtes, je ne perdrais pas une tierce à gérer vos ‘’colères’’ et vos états d’âme. Notre sawanité attends mieux que le goût de la querelle caustique et improductive dont vous n’arrivez pas à vous détacher et que vous m’obliger à partager de semaines en semaine.

J’ai le sentiment, et je ne suis ne pas être le seul, que vous voulez revêtir coûte que coûte le costume des ces Grands Rassembleurs et Résistants Sawa, mais manifestement le costume est trop ample pour vous. Croyez- moi je souhaite qu’il n’en soit pas toujours ainsi. Mais si vous voulez remédier à cet écueil, il va falloir faire du ménage d’abord dans sa propre cour. Apprenez donc quelques fois à être élève et vous enseignerez ensuite. Construire, même seulement une notoriété personnelle, est aussi un travail d’alchimie intérieure. Une alchimie d’affinage de soi même puis par les autres afin d’épurer la gangue qui opacifie encore et toujours notre petite bête narcissique qui sommeille en nous. Passons toujours au crible de la raison ce que ceux qui ont lamentablement échoué ont abandonné à la merci des véhémences diverses : les rapports humains.

M. Alphonse Mpeke que vous le vouliez ou pas le bellicisme gratuit ne fait pas partie de nos traits de caractère originels. Je ne sais pas ce que sont vos conclusions anthropologiques à ce sujet. Mais j’ai bon espoir que vous ne tarderez pas à conclure ainsi si ce n’est pas encore le cas. La courroucement viscéral est un mal d’importation pour les BonaSawa!.

C’est encore malheureusement dommage que certaines âmes sensibles s’approprient de cette salissure et de cette cabale de méchanceté pour espérer changer les choses. Où est donc passée notre nature affable , notre civilité qu’on nous envie de Campo jusqu’au pinacle du Koupé ?

Mais second souhait, et je l’ai ébauché plus haut, est que reveniez à de meilleurs sentiments sur la perception que vous vous faites des autres et de vous. M. Mpeke , sans être masochiste, j’ai toujours su reléguer au second plan les vexations qui sont faites sur ma personne lorsque l’intérêt collectif est en Danger. Néanmoins s’il me semble nécessaire de participer à nos réflexions sur la sawanité, il m’est en revanche inacceptable de laisser mon honneur en pâture en proie à toutes les avanies sous le prétexte de l’engagement fraternel.

Vous savez, M. Alphonse Mpeke il faut parfois beaucoup de contorsions explicatives pour dire une peine. Le Psychotérapeute que vous êtes ne m’en démentira pas

Il est des mots sans qui, sans qu’on sache très bien ni comment ni pourquoi, s’installent de plus en plus dans le vocabulaire social des Camerounais au point même de devenir incontournables dans toutes les frustrations. Utilisés par tout un chacun, ils finissent par produire des confusions énormes que leur sens reste vague. La principale critique que l’on puisse leur faire , ce n’est pas de manquer de sens, mais au contraire d’en avoir une telle abondance que chacun peut y mettre le sien sans pour autant être sûr que ce soit bien celui qui convient à une situation bien donnée. Parmi ces mots il y a bien celui de ‘’tribaliste’’. Qualificatif que vous m’assener aujourd’hui en guise de réponse à ma main tendue. De l’élégance tant espérée de vous, j’ai plutôt reçu une fin de non-recevoir. Si toutefois une telle réaction reste triste, elle n’en reste pas moins révélatrice de l’idée que vous n’êtes pas au fond de vous un pacifiste, un rassembleur comme le clamer tout bonnement. Comment vous voulez mener la destinée de la diaspora Sawa avec la baguette de l’exclusion plutôt que la poignée de l’apaisement. Le masque qui cacherait votre vrai visage serait-il entrain de tomber ?

Vous me faites le reproche, dans ma première réaction, d’avoir minimisé la portée du mot qui est à l’origine de l’incident sur le site peuplesawa.com

Qu’auriez vous voulu finalement ? Que j’eusse été plus cynique en remuant davantage le couteau dans la plaie ? N’ai-je pas émis mes réserves sur la manière dont les co-auteurs Bekoè et Ndoumbè ont imprudemment jeter l’opprobre sur nos frères Bon’éwalè. De quelle repentance et de quelle distanciation auriez vous voulu Monsieur le moraliste !

Vous exigez qu’on arrête de mettre l’huile sur le feu, et dans la suite de vos idées que vous estimer toujours bonnes, vous regrettez que je ne me sois pas davantage attardé sur cette abjection. Comment peut-on vouloir une chose et son contraire à la fois !

Tout cela est troublant et en même temps tout cela est aussi symptomatique des personnes qui, comme vous, trichent avec leur conscience. Mais comme l’implacable vérité fini toujours par crever le bouclier de ces cachotteries égoïstes, on fini par fauter. Ne vous y tromper pas les mémoires de ceux qui nous lisent sont de véritables boites noires d’avions, ils finiront par ressentir et même ressortir ces contradictions et ces cacophonies comme ils le font déjà à demi mots.

Vous dites refuser toute inféodation extérieure sur nos affaires de famille mais vous n’hésiter pas à abuser de la toile Internet pour mettre justement à nus la manière dont vos congénères sawa sont ’’ oppressés’’ et ‘’adeptes de la dialectique de l’inertie’’. C’est vraiment le lieu de penser que vous donnez là l’exemple de la discrétion sur notre ‘’linge sale’’ qui devrait se laver en famille. Vos points de vue sont finalement un concentré d’éléments rabaissant et contradictoires sur toute la communauté.

Avant même que la température inhérente à l’effervescence du livre sur Malimba ne soit tombée, vous embrayez à la fois sur la création de l’Organisation Internationale Sawa et sur une nouvelle controverse. Parlez la langue de la vérité et cessez s’il vous plait de vous servir de votre cabale moralisatrice et des autres incunables éthiques comme levier de votre propre cause. Si un frère ne vous le dit pas qui vous le dira ?

Moi enfant côtier reconnaît comme vous la délicatesse douteuse du propos des co-auteurs du Livre sur Malimba sur leur congénère Bon’éwalè. Toutefois ce recueil qui n’est pas un missel de chevet n’est pas non plus un grimoire. Une partie de la résistance Résistance Sawa y est abordée avec bien plus de révérence pour tout les lrecteur. Pensez vous sincèrement qu’il serait inutile de relater les exactions graves (que j’étudie en ce moment même) commises sur les Batanga au début du siècle passé. Pour ma part c’est utile de le dire afin que cela fasse école pour la génération présente qui s’abandonne jour après jour à la facilité destructive qu’offre la peur du lendemain.

M. Alphonse Mpeke il me semble que nous avons tous enseignements à tirez cette petite sortie de route. Aussi biens mes affligés frères et sœurs Duala (à qui je réitère profondément mon attachement) que vous et moi. Délestons nous une bonne fois pour toute de l’animosité qui essaie de s’agripper à nous comme un sac dos plein de cailloux. De vos injures sur ma personne et ma modeste action, je suis prêt à ne retenir que des conseils désireux et votre éveil à toujours être au plus de la propension des choses. De votre suspicion à vouloir médire ce que nomme sawanitude et de l’opposer à notre sawanité, je ne retiendrais volontiers qu’une opinion inexacte. Dédramatisons autant que faire se peut le climat délétère du site de sorte que nos erreurs d’aujourd’hui ne soient pas des fautes de demain.

C’est une phase obscure que nous traversons avec cette affaire polluante, il n’est pas besoins d’en rajouter.

M. Alphonse Mpeke de l’obscurité naît la lumière. J’attends impatiemment cette lumière. Mais pour le moment une étincelle de sagesse serait la bien venue.

To bulu bo inda ndé né, idiba é ma éhèdè ndé

Avec toute ma considération ;

M. Mandjombe


Envoyé par:  Mr Dikobe MetusalaDate:  01.05.2006 [00:18]
LE COMITE AD HOC DE L’ORGANISATION INTERNATIONALE SAWA
Mise en marche du Comité ad hoc de la création de la structure d’action d’aide au développement du peuple Sawa.

Après le message posté 13.01.2006 ici même dans ce site qui a pour titre SAWANITE - LE GRAND SAWA SE MET MARCHE par Mpeke Mu Ntonga,(2006), plusieurs internautes ont réagi positivement à cet appel en répondant à son auteur de leur désir de voir cette idée suivre son chemin.

Le comité ad hoc est donc en marche. Seulement, il faut déjà savoir ce que nous espérons y apporter ou y faire. Voici par ailleurs une ébauche du résumé de la synthèse des messages et appels téléphoniques reçus, de ce que d’aucuns aimeraient que le Comité ad hoc soit.

Le comité ad hoc ici mentionné se veut être un lieu de réflexion et d’action qui vise à mettre sur pied une structure internationale d’action d’aide au développement du Grand peuple Sawa. C’est un organe qui se veut également être composé de volontaires de toutes les composantes Sawa, résidents au Cameroun ou faisant partie de la diaspora. La mission du comité se définira séance tenant (en ligne et par d’autres moyens de communications modernes).

C’est donc, fort de ce constat que nous, les animateurs du débat sur la Sawanité ou Sawanitude et aussi et surtout sur la construction du Grand Sawa avons cru qu’il était opportun de nous lancer dans ce chantier qui va donner un sens a nos efforts de développement collectif.

Nous avons choisi d’ouvrir ce processus a plus d’un internaute Sawa parce que, nous souhaitons et tenons à utiliser tous les moyens (démocratiques et technologiques) possibles pour vous informer sur ce que nous entreprenons à ce sujet. Aussi et surtout, en tant qu’activité collective vous avez le droit de savoir de quoi il en ressort. Je veux par là dire, que vous devez y voir la possibilité de donner votre point de vue ou de participer effectivement à ce projet.

Le site Internet que voici nous sert pour le moment de plate-forme de rencontre et de diffusion de nos communiqués ou lettres d’informations. Nous n’avons pas encore scellé les conditions de travail avec le site Internet qui présente quelques éléments fondamentaux qui mettent en exergue notre patrimoine culturel. Nonobstant, quelques manquements qui y sont identifiés et que nous espérons voir améliorer, bien évidemment avec nos suggestions qui porterons l’esprit de nos objectifs ou notre visée collective.

Nous vous prions donc de bien vouloir nous écrire à l’adresse E-mail ici mentionnée pour accepter de faire partie du Comité qui est déjà composé de quelques membres de la diaspora européenne qui nous ont fait part de leur volonté de participer au processus de la création de cette structure de Internationale de développement. Nous vous prions de bien vouloir ici suivre le mode d’emploi donné par Ngalle Menessier dans l’article, Peuple Sawa: APRES LA PLUIE LE BEAU TEMPS (2006)


La date limite de réception des candidatures est fixée le 25 30 Juillet 2006 à 20 heures précises.

Nous vous prions de bien vouloir ici recevoir l’expression de nos sincères

salutations.


Pour le Comité ad hoc de l’organisation internationale Sawa.

Mpeke Mu Ntonga

Londres, ce 19.04.2007

Nous écrire à: bonabasawa@yahoo.co.uk

Référence:

Mpeke.M.N,(2006) SAWANITE - LE GRAND SAWA SE MET MARCHE, Actualité, peupleSawa.com. [Accédé, ce 19/04/2006]
Ngalle,M.P (2006) Peuple Sawa:APRES LA PLUIE LE BEAU TEMPS,dans peuplesawa.com [Accédé, 24/04/2006]

Envoyé par:  Mme Tiki Musango .Date:  24.02.2006 [13:08]
Il faudrait encourager les jeunes sawa à en faire de même, affirmer leur potentiel comme cela... Très bel exemple. Ce n`est pas pour le Moungo uniquement que je suis fière, mais pour toute la famille sawa. Bravo !

Mboa o boso.

Envoyé par:  Mr Dikobe MetusalaDate:  19.02.2006 [13:45]
Jeunesse Sawa à l`honneur au USA (Mispa Mpongo Komè)
Les universités américaines se disputent une jeune Camerounaise, la jeune Mispa Mpongo Komè

Après son brillant succès comme lauréate du printemps 2005 en tant que "National honor roll student" in God we trust, la jeune Mispa Mpongo Komè qui est arrivée aux Etats-Unis à l’âge de deux ans se voit déjà convoitée par toutes les grandes et prestigieuses universités américaines dont Havard, Columbia, Beverley Hills, Santa Clara.

Mispa Mpongo Komè (17 ans), Camerounaise de mère ivoirienne née en 1989 à la maternité d’Afféry en Côte d’Ivoire, vient de se voir attribuer la distinction de “ lauréate du printemps 2005 ” en tant que “ national honor Roll student ” in God we trust (la fameuse devise des Etats-Unis). Mispa Mpongo Komè est élève en classe de Première à Long Island, New York où elle vit avec ses parents et ses sœurs. Il faut d’ailleurs dire que cette jeune fille n’est pas le premier génie de la famille. Sa sœur aîné, Marzitte Mpongo Komè a émerveillé ses condisciples et ses enseignants en 1996 en remportant le titre de lauréate en mathématiques, alors qu’elle n’avait que… 9 ans. Elle suit les cours de mathématiques appliquées à Penn State University, P.A. Elle-même n’a suivi que les pas de son géniteur Gustave Komè, professeur de maths avant qu’il ne rencontre la mère de ses quatre brillantes filles. Une Attié de Côte d’Ivoire qui contribue à donner une dimension exceptionnelle à une famille Bakaka de Nkongsamba, dans le département du Moungo.

Après son brillant succès comme lauréate du printemps 2005 en tant que “ National honor roll student ” in God we trust, la jeune Mispa Mpongo Komè qui est arrivée aux Etats-Unis à l’âge de deux ans se voit déjà convoitée par toutes les grandes et prestigieuses universités américaines dont Havard, Columbia, Beverley Hills, Santa Clara, Polytechnic, California, Kennedy Western, Yale, Washington, etc.
Actuellement, le père Gustave Komè est ingénieur informaticien, ingénieur de réseau (Cisco) et travaille principalement avec le département de l’éducation nationale (Nyc) du district de New York.

[Douala - Cameroun] ( 13/01/2006) Dobell

© 2006 Le Messager

Envoyé par:  Mbong`a Ntoh (Date:  10.11.2005 [14:26]
les sawas doivent se reconcilier avec leur histoire
Beaucoup de Sawa sont des acculturés. Ils veulent à tout prix integrer la culture soit francaise, anglaise, sauf se reconnaitre africain sawa.

La renaissance africaine passe d`abord par la culture, puis l`économie.

Les Sawa de la diaspora doivent élaborer un ou des projets de developpement et les mettre en oeuvre au pays. Il faut laisser les marques en faisant quelques choses de concret.

Example: construire un centre d`éducation pour nouvelles technologiques (Information et Communication).



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