Détient-elle la clé de l’arche de zoé ?
L’ombre de la patronnesse
Numéro deux de l’ONG, Stéphanie Dhainaut-Lefebvre est une femme de réseaux. S’est-elle servie de ses relais politiques, scientifiques et humanitaires ?
Enquête de Léna Mauger
Le nouvel Obs : Semaine du jeudi 29/11/2007
Elle est introuvable. Sa ligne fixe est coupée. Son portable sur répondeur. Sa boîte mails aux abonnés absents. Depuis l’arrestation du commando humanitaire d’Eric Breteau, à l’aube du 25 octobre, à Abéché, Stéphanie Dhainaut-Lefebvre, la numéro deux de l’Arche de Zoé, est claquemurée dans son silence.
Pourtant, ce personnage de l’ombre, cette bénévole discrète en sait beaucoup sur cette troublante affaire. Trop, peut-être. Salariée d’un institut biomédical, fille d’un grand médecin universitaire proche de l’UMP, elle possédait tout : les comptes de l’ONG, les papiers et, surtout, les contacts.
La cheville ouvrière de l’Arche se situe à la croisée des pouvoirs politique, scientifique et humanitaire. S’en est-elle prévalue pour donner à l’Arche l’image d’une association sérieuse ? Les a-t-elle utilisés pour organiser « l’opération Darfour » ? Est-ce vers elle qu’il faut se tourner lorsque le pompier Breteau menace, du fond de sa prison tchadienne, de révéler ses « soutiens » ? Stéphanie la mutique serait-elle la clé de ce fiasco ? Ses amis la décrivent comme une mère de famille pétillante, une quadra de caractère.
Stéphanie rencontre Eric Breteau au début des années 1 990, via un ami commun, membre du club de 4x4 de Rueil-Malmaison Elle se reconnaît immédiatement dans l’enthousiasme du sapeur-pompier, dans son mélange d’idéalisme et de volontarisme. Lorsque celui-ci décide, après le tsunami, de créer une association humanitaire, elle le suit sans hésiter.
Elle devient la trésorière de l’Arche de Zoé, une petite association humanitaire d’une dizaine de personnes. Avec Eric, ils forment un tandem parfait. Lui est l’homme de terrain, le rêveur fou. Elle, la gestionnaire, la femme de réseaux. Elle récolte par exemple 27 000 euros de dons auprès de la Fondation des Hôpitaux de Paris. Convaincue qu’une « petite ONG » a autant de légitimité à intervenir qu’une « grande », indignée par l’incapacité de la communauté internationale, elle approuve l’opération coup de poing au Darfour. Eric Breteau pilote la mission.
Mais c’est Stéphanie le chef d’orchestre administratif. Elle centralise tous les documents. Elle tient le listing des familles d’accueil dans son ordinateur. Elle ouvre un compte bancaire de l’association au Crédit agricole de L’Haÿ-les-Roses, sa ville de résidence. Elle rencontre aussi les futurs parents d’« orphelins » pour leur expliquer les détails de l’opération.
Comme le charismatique pompier d’Argenteuil, Stéphanie inspire la confiance. C’est une « fille de ». Son père est un sexagénaire brillant. Un homme puissant, proche des pontes de l’UMP II préside l’université René-Descartes-Paris- V. Il a dirigé le comité scientifique d’une convention sur la « société du savoir », organisée le 4 octobre 2006 par Valérie Pécresse, l’actuelle ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et Laurent Wauquiez, aujourd’hui porte-parole du gouvernement.
Mieux : le 1 1 juillet dernier, Nicolas Sarkozy l’a nommé président du conseil de l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement supérieur. Un poste clé, dont l’objectif est de faire gagner des places à l’université française dans le fameux classement de Shanghai. M. Dhainaut fait-il bénéficier sa fille de ses relations ? Diplômée d’un DESS d’économie de la santé, Stéphanie occupe elle aussi un poste important. Elle est directrice adjointe de Paris Biotech, un prestigieux institut semi-public qui aide au lancement de start-up liées à la santé humaine, et dont les bureaux sont situés dans l’université de son père. Fait troublant : dans cette affaire à rallonge, les noms de Paris Biotech et de l’Arche de Zoé se croisent à plusieurs reprises.
Stéphanie Lefebvre mélange en effet ses différentes casquettes. Elle utilise son mail professionnel pour communiquer avec les membres de l’Arche. Elle domicilie le siège de l’ONG chez son père, dans le 14 e arrondissement de Paris. Simple souci de commodité ? Habile stratagème pour gonfler l’importance de l’Arche ?
Autre imbroglio : au coeur de l’été, le 17 juillet, Stéphanie organise une réunion d’information de l’ONG - plus de cent familles réunies autour de l’équipe humanitaire - dans un amphithéâtre de Cochin, où Paris Biotech dispose de bureaux. Une assemblée dont le secrétariat de l’hôpital dit n’avoir jamais été informé... Même réponse chez Paris Biotech.
Contacté plusieurs fois par téléphone, son directeur, Olivier Amédée-Manesme, nie tout lien avec l’Arche de Zoé. Il rappelle qu’il préside un institut sérieux, composé de membres compétents. Parmi eux, des médecins tels que François Sarkozy, le frère du président, des chercheurs de l’Inserm, des professeurs de l’Essec ou encore de l’Ecole centrale. « Les activités de notre association sont uniquement tournées vers les entreprises du secteur de la santé humaine, précise-t-il. Stéphanie a fait une erreur en utilisant son mail professionnel. Mais elle n’est secrétaire générale de l’Arche qu’à titre purement personnel. » L’homme renvoie à la page d’accueil de son site internet, où a été mise en ligne une attestation de son expert-comptable. Celui-ci certifie que Paris Biotech « n’a effectué ni don ni prestation en faveur d’organisations humanitaires depuis sa création à ce jour » .
Qui croire ? Interrogé le 10 août par la brigade des mineurs, Eric Breteau avait déclaré aux policiers : les commissaires aux comptes de l’Arche « ont été choisis par Stéphanie, et je sais que ce sont les mêmes que pour Paris Biotech ».
Certains documents obtenus par « le Nouvel Observateur » établissent clairement un lien entre les deux institutions
Certains documents obtenus par « le Nouvel Observateur » établissent clairement un lien entre les deux institutions. Il y a d’abord cette lettre, datée du 14 avril 2005, dans laquelle Olivier Amédée-Manesme exprime le soutien de Paris Biotech à Eric Breteau. « Satisfait de la collaboration entre notre association et votre équipe depuis le début de cette année et soutenant le programme envisagé par les bénévoles de l’Arche de Zoé, je tenais à vous confirmer notre souhait de poursuivre notre collaboration en termes de moyens logistiques et de mise à disposition de réseaux dont vous pourriez avoir besoin dans ce programme » , écrit-il.
Autre pièce révélatrice : le bilan 2005 de l’Arche de Zoé, où figure un don de 4 500 euros de Paris Biotech à l’ONG. Cette collaboration remonte à l’époque du tsunami. Pourquoi la dissimuler aujourd’hui ? De quels « réseaux » Olivier Amédée-Manesme parle-t-il ?
A toutes ces questions, l’institut ne fournit aucune réponse. L endroit est une forteresse. Une sorte de bunker silencieux, situé au bout d’un couloir de l’université René-Descartes. Concrètement, Paris Biotech, c’est une porte blindée bleue, avec quelques sonnettes, dont celle de Stéphanie Lefebvre. Dans l’embrasure, on aperçoit un long couloir, avec d’autres lourdes portes fermées. Impossible d’en voir davantage.
Le directeur, Olivier Amédée-Manesme, a des yeux partout. Il surgit en trombe et met dehors les curieux entrés sans sonner. « Si vous voulez attendre Stéphanie, je vous apporte un café et une chaise devant h porte, dit-il, avec une cordialité forcée. Mais vous savez, il y a quatre sorties différentes... Vous risquez de vous ennuyer. » Stéphanie reste plus fuyante qu’une ombre. Les juges d’instruction ont perquisitionné à son domicile de LHay-les-Roses et à celui de son père, siège de l’association. « Us ont tout mis par terre, raconte un proche. Stéphanie est bouleversée. Elle veut garder le silence. C’est son choix. »
Et puis, soudain, le 19 novembre, nouvelle surprise : on aimerait quelques explications, des informations sur la vie, le parcours de la trésorière ? Céline Lorenzon, l’avocate de l’Arche, lui demande une nouvelle fois par téléphone si elle accepte de parler à une journaliste. « Elle m’a répondu que vous pouviez appeler l’attachée de presse de Paris Biotech, transmet l’avocate. C’est elle qui répondra à vos questions. » Son nom ? Mary Sills, une vétérante de l’humanitaire. Elle est l’ancienne attachée de presse de Bernard Kouchner. Elle l’a suivi partout pendant près de dix ans, au ministère de la Santé, à Ingérence Santé, son association.
En fait, Mary Sills appartient au premier cercle du French doctor, à ce petit groupe de fidèles soudés et solidaires. On s’étonne. Quelques jours auparavant encore, la seule personne de Paris Biotech habilitée à répondre aux journalistes était son directeur. « Mary Sills est chez nous depuis la rentrée, assure Olivier Amédée-Manesme. Mais elle était en vacances pendant la crise. Je la connais à travers des relations... » Simple hasard ? Après tout, Mary Sills est une figure bien connue du milieu de la santé.
Mais l’irruption d’une proche de Kouchner dans cet imbroglio risque de semer encore plus le trouble dans les esprits. Et si elle était intervenue, elle aussi, au profit de l’Arche ? « C’est une désagréable coïncidence. Car l’amalgame ne manquera pas d’être fait », reconnaît-on dans l’entourage du ministre. Mary Sills elle-même entretient la confusion. Assaillie de questions, elle annonce qu’une « conférence de presse de l’Arche de Zoé va être organisée », mais qu’il « faut attendre d’en savoir un peu plus sur le sort des ressortissants français ». Paris Biotech, Stéphanie Lefebvre, l’Arche de Zoé... Une fois de plus, tout se mélange.
Le Nouvel Observateur
REACTIONS sur Africamaat
le 24/12/2007 15:47 par Soumaine ADOUM
A Homme transparent donc pas de racisme
C’est courant de rencontrer ce genre de réaction comme le fait le Monsieur qui se prénomme "Homme transparent donc pas de racisme". Ce sont souvent des discours racistes envoyés par des gens qui peuvent bien être de l’extrême droite, et je pense qu’il provoquent pour assouvrir ainsi leur racisme. On s’en moque de toute façon et je vous souhaite de bien satisfaire votre haine. Mais, extrême droite ou pas, vous ne ferez pas que nos cerveaux pèsent moins que le vôtre. Vous espérez donc qu’on ne décode pas vos subtilités de racistes. Continuez de rêver et intérrogez vous s’il ne vous faut pas quelques pièces à remplacer dans les deux lobes de votre cerveau.
1 - Si des êtres humains veulent et croient bien faire, alors ils n’ont pas besoin de cacher ou de mentir que leur identité : arche zoé s’est fait appelé Children rescue (soit dit en passant un nom très français). Ensuite, pour avoir des enfants, ils ont menti aux parents qu’ils vont se charger sur place de l’education de leurs progénitures. Il y a des orphelinats dans le pays qui font ce travail, pourquoi un de plus ? Arche de zoé a fini par tenté d’envoyer les enfants en france. Si vous voulez nous cacher le fait qu’en france des organisations organisent un recel d’enfants trafiqués, alosr vous nous aidez à comprendre votre entourloupe lorsque vous qualifiez cela de bienfait. En tout cas, je vous admire pour l’effrot de dissimulation que vous déployez. Mais je crois qu’il s’agit d’un mepris. Le fait est siclair que tenter de le dissimuler suppose que vous prenez les africamaatnautes pour de grands enfants. C’est l’attitude de tous les racistes.
2 - Vous faites un parallèle entre l’affaire zoé et les souffrances des enfants du Darfour. Je vous rappèlle que personne au Tchad n’a abandonné les réfugiés à leur sort. Dès leur arrivée, les villages qutour desquels ils se sont concentrés ont partagé avec jusqu’à leur reserves de grains. La solidarité n’est pas une chose qu’on explique aux africains. Dites-nous en contrepartie si enlever des enfants, même pour leur bien concédons cela à arche de zoé, est une action humanitaire. C’est un vol d’enfants et il n’y a pas d’autres mots pour le dire. Maintenant si les relations politiques entre les gouvernements français et tchadiens font que des délinquants de cette espèce là passe par les mailles du filet, et si c’est ça qui vou gonfle la tête, alors il s’agit de déliquance d’Etat et des hommes politiques français sont maîtres dans cet art. Sarkozy a bien dit qu’il irait chercher les membres de arche de zoé au Tchad quoiqu’ils aient fait. Il couvre donc des délinquants et par conséquent joue au délinquant. Et il sait très bien pourquoi il le fait.
Alors "M. Homme transparent donc pas de racisme", n’ayez pas honte de votre racisme. En france ça court la rue. Ca pue de partout, y compris dans votre message.
Merci
le 22/12/2007 11:53 par Soumaine ADOUM
Bonjour
En tant que tchadien, ayant vecu la période post-coloniale, je vis une suite continue d’évènements menés par des français et qui toujours mettent l’autorité française en cause. Bien entendu les relations françafricaines prennent le dessus et les victimes sacrifiées dans le mepris et l’oubli. cette affaire de zoé rappèlle celle des enfants de l’Ile de la Réunion déportés en métropole. Jamais ne saura t-on ce qu’ils sont tous devenus à part les drogués que la télévision a parfois montré. Qui nous dirait, la main sur le coeur qu’ils n’ont pas fini dans des labortoires de recherche, des réseaux de proxenètes, et passons-en.
Des laboratoires de recherches se retrouvent curieusement mélés de près ou de loin aux réseaux de soutien non seulement de l’Arche de zoé, mais même de l’opération d’enlèvement des 103 enfants tchadiens. Pire encore, les noms cités sont quand même si haut placés que des explications devaient être fournies par l’autorité supérieure française, au moins Bernard Kouchner dont le Ministère évoque toujours la coïncidence pour expliquer les constats troublants faits sur cette affaire. Une coïncidence, OK c’est compréhensible, deux, ça commence à être douteux, mais continuellement, ce n’est pas clair. Le problème n’est-il pas ailleurs ? Je pense à la dure compétition pour se maintenir puissance reconnue dans le monde. La montée de la chine, l’arrivée prochaine de l’Inde, l’assencion du Bresil. Tout ça menace la position française. Et on parle de rédistribution de la carte au conseil de sécurité de l’ONU. Des critères d’accession au conseil permanent doivent être redéfinis. La position de la france est plus que menacée. Donc des raccourcis ne peuvent qu’être utiles, notamment pour le bénéfice de la rehcerche scitifiques en France, un des créneaux les plus porteurs des économies modernes. Par exemple M. Dhainaut responsable du comité scientifique, cité dans l’article du nouvel Obs du 20 decembre 2007, et dont un des buts est de faire gagner des points aux universités française dans le fameux classement de Shanghai a laissé utilisé ses biens pour les activités de l’opération au Tchad. Conïcidence nous dira t-on aussi. Mais on peut aussi évoquer des intérêts avec les milieux de la recherche dont il chapote le dispositif en france. Alors M. Deby a t-il tort de penser que des milieux pédophiles et de trafic d’organes peuvent être derrière cette opération ? Peut être mais il appartient à M Le second exemple c’est non moins Bernard Kouchner lui même via une de ses plus proche collabiratrices, sans parler de françois sarkozy. Et tout ça c’est de la coincidence ? Si pour Kouchenr ou sarkozy c’est de la coincidence, je dirai moi, tchadien, africain et noir que c’est l’eternel meppris français vis à vis de l’afrique. Après le discours de Dakar et le "j’irai chercher les autres quoiqu’ils aient fait" de sarkozy, je ne vois pas au nom de quoi l’enlèvement dans des conditions mafieuses d’enfants noirs africains répondent de préoccupations humanitaires. Il ya eu des cas de trafics d’organes évidents qui ont été étouffés ou auxquels la justice a opposé un non lieu en france. La dernière qui a défrayé la chronique est celle de cette française de gaudeloupe et née au Maroc.
La france en général a pratiqué de la mafia d’Etat et nous sommes bel et bien dans le cas d’espèce dans cette affaire. La preuve vient de l’intervention directe de sarkozy, ce qui conduit au soupçon de protection des personnalités françaises dont certaines l’entourent. Des exemple comme celui là abondent depuis les indépendances africaines : Y a qu’à se rappeler l’affaires des diamants de Bokassa où giscard d’estaing a été entaché jsuqu’au bout du nez. Même le livre que Bokassa a écrit à l’occasion a été saisi a la sortie de l’imprimerie. Pour raison d’Etat. Sarkozy, lui, ne se casse pas la tête, il joue au cowboy : arracher des inculpés aux griffes du juge. C’est le comportement d’un désespéré. Donc il veut protéger.
Je crois que sur le fond, les affaires d’Etat comme de celle provoquée par l’arche de zoé, sont couvertes par une muerta à laquelle participe la presse. Aucun organe n’a fait de rappel retrospectif de ce genre de délit dans lequels sont souvent impliquées des personnalité d’Etat françaises. Et si la presse française a le courage, les sujets ne manquent pas : l’accès des entreprises françaises aux marchés africains, le syphonage des richesses africaines grace aux comptes d’opérations au trésor français. Je crois que ça leur fait tout simplement honte donc ils tirent la couverture en espérant que ça ne se voit pas. Mais ils oublient que ça puent. Et bien c’est un système mafieux de pompage des ressources africaines par la france. Il contribue à entretenir le niveau de vie français, au moins de son élite. Ca doit faire honte de vivre dans l’opulence avec l’argent des autres. Ca s’appèle du vol. La procédure utilisée pour solder l’affaire zoé procède du même mode opératoire. C’est mafieux et ça pue. Et c’est une pratique française bien éprouvée.
Je sais et connais des associations françaises qui luttent contre une telle image de la france officielle. C’est la preuve que le problème existe, et qu’en france d’honnêtes citoyens veulent d’un autre etat que celui là. Pour debouter un système mafieux, il faut bien plus qu’une poignée de citoyens.
le 22/12/2007 11:18 par Homme transparent donc pas de racisme
Intéressant mais sans plus. Au lieu de pointer du doigt une association qui a cru bien faire (et vous la pointer du doigt parce que ça concerne des "blancs" en Afrique), préoccupez vous plutôt de la situation au Darfour. Ce genre d’article est totalement futile surtout lorsqu’il est repris d’un noble journal dans le but d’attiser le feu de ce combat contre l’occidental que vous détestez au plus profond de vous.
L’Instrumentalisation de l’actualité au nom d’une idéologie... c’est dangeureux et c’est ce que font les mouvements extrêmistes.
le 21/12/2007 11:16 par kamissoko
ce qui m’altère dans cette affaire,ce qu’il n’ y a eu aucune réaction ou manifestatation au sein de la communauté noire à travers le monde plus particulièremen, en France ! cela prouve encore une fois de plus,notre immaturité,incapacité,notre inconscience à être face aux gens qui nous font sans cesse du mal dépuis l’esclavage.si le mal persiste sur le peuple noir,ce qu’il est tout seul en progression sans nuissance de la lutte farouche de nous même car le temps joue cruellement contre notre peuple.pour faire court,aussi longtemps que nous réfusions de lutter pour notre libert par notre propre amour,et aussi longtemps que nous serons marginalisé pour l’éternité.............