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22.02.2007
Moïse l’Africain: La vérité voilée sur l´Africain qui a inspiré le monothéisme occidental
Moïse était il un prêtre renégat, disciple du Pharaon Akhénaton ? En 1939, Sigmund Freud popularise cette thèse. Depuis, les chercheurs ont constatés de nombreuses similitudes entre la religion mosaïque (différente du Judaïsme) et le culte d’Aton. Ils ont également constatés quelques divergences, qui s’expliquent par la comparaison qui est faite avec le Judaïsme institué en 398 av.J.C, par le scribe et sacrificateur Esdras.
En lisant cet ouvrage, vous aurez la réponse à toutes ces questions où chaque élément trouve sa place tel un gigantesque puzzle.
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On serait tenté de placer le syllogisme les Egyptiens sont Africains or Moïse était égyptien, donc Moïse était africain, pour expliquer la démarche du guadeloupéen Pierre Nillon, spécialiste de la Bible et au cœur d’un renouvellement de sa lecture historique.
Mais il ne s’agit pas d’une simple identification touchant à l’africanité de Moïse, personnage central des religions dites monothéistes, supposé en être l’inspirateur, ayant reçu de dieu les tables de la loi pour guider le peuple d’Israël. En effet c’est Sigmund Freud qui popularise en 1939 la thèse d’un Moïse prêtre égyptien hérétique, à l’époque la thèse n’a pas la charge que lui apporte la somme de preuves irréfutables de l’appartenance de l’Egypte à la culture négro-africaine que Nillon, suivant Cheikh Anta Diop, conforte.
Nillon tente avec patience et abnégation de délier les différents épisodes de l’histoire fondatrice des juifs, mal objectivée par le récit d’un Exode que l’on ne retrouve pas dans l’histoire égyptienne écrite, il re-tricote le fil des discontinuités insinuées par les anachronismes d’un texte loin d’être homogène encore moins rédigé d’une seule main. Souscrivant à la théorie documentaire et syncrétique, Nillon retrouve les différentes sources et traditions qui composent l’archéologie des textes bibliques qui en seront l’assemblage postérieur.
Une grande attention est accordée à la chronologie dans une optique comparative des différentes sources, la numismatique étant d’un recours précieux pour fixer le cadre spatio-temporel des faits historiques. Nillon abouti à une datation de la rédaction de la bible, vers 398 avant J.C. par le scribe et sacrificateur Esdras dont il dissèque le texte, l’occurrence.
Moïse n’aurait donc ni écrit ni reçu directement les commandements divins? Cela pourrait retourner bien des tombes pourtant aucun théologien ni bibliste contemporain ne souscrit à la thèse d’une rédaction par une seule main, tant anachronismes et incohérences temporelles sautent aux yeux exercés à scruter le détail des descriptions de l’environnement humain, animal, matériel des faits qui composent le texte. Apparaissent deux récits d’Exode d’Egypte et pas un, les peuples africains descendants de Cham, les Cananéens, se retrouvent localisés en Palestine, d’après les textes bibliques et les recoupements archéologiques, les royaumes de Juda et d’Israël confondus en un royaume du peuple juif par falsification, inculcation idéologique et/ou ignorance sont restitués à leurs populations et cultures respectives. Les parentés ou à tout le moins similitudes entre un certain nombre de peuples africains et les traditions généralement attribuées aux juifs sont revues et questionnées. Rien ne permet de dire que la culture africaine, négro-égyptienne notamment qui se retrouve disséminée dans le continent encore à ce jour n’est pas le véritable fond spirituel et religieux qui inspire la Bible, le judaïsme et les religions qui l’ont suivi.
C’est le culte d’Akh En Aton qui apporte ici la clé de relecture des phénomènes fondateurs de la Bible, l’Exode d’un des prêtres de ce culte dont le nom hébreux deviendra plus tard Moïse…Les similitudes dépoussiérées entre traditions, langues, faits supposés propres aux peuples dits juifs avec l’environnement culturel africain ne sont pas les moins probantes ni les plus attendues par des esprits reposés sur une écoute habituelle des interprétations de la Bible.
Nillon y fait un apport incontestable même si on peut sans risque arguer qu’une plus grande connaissance des langues africaines aurait démultiplié ses illustrations, le plus important cependant reste la pertinence de l’argumentaire et l’auteur n’en est pas rationné. Il change le sens eurocentrique et judéo-centrique de l’émergence des religions dites monothéistes, leur origine de même que leur quintessence seraient sorties d’Afrique par l’entremise d’un prêtre et initié africain! Vivifiant …ou momifiant, la thèse n’indiffère en tous cas personne.
Pierre Nillon, Moïse l’Africain. La véritable histoire de Moïse. Menaibuc, 2001
Pierre Prêche Afrikara
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Dans la lutte pour le rétablissement de la mémoire collective Africaine, voici un personnage non loin négligeable. En effet, Pierre Nillon, un chercheur éclairé, qui à force de travail nous amène sur un terrain inattendu, et nous invite à nous interroger d’abord sur les questions religieuses africaines, mais surtout sur l’origine des religions dites révélées, telles : le Judaïsme, le Christianisme, et l’Islam.
Si Cheik Anta Diop dans Nations Nègres et Culture nous pousse vers un univers scientifique afin de prouver l’origine des anciens Egyptiens à savoir qu’ils étaient noirs et les cheveux crépus. Monsieur Pierre Nillon, s’attarde quand a lui sur le point de vue spirituel de l’Egypte antique. Pour lui la religion est la base de tout. Car, lorsque l’on parle de l’Egypte antique il faut aussi remonter le temps pour entrer dans les lieux les plus sacrés, là ou le savoir noir a connu tout son superbe. L’Égypte est aussi l’endroit ou l’on a trouvé les plus anciennes traces du monothéisme Africain pratiqué par le pharaon noir Akhenaton il y a de cela 3500 ans alors que les religions connues aujourd’hui n’existaient pas.
KAMAYITI – Bonjour, Mr Nillon
Nillon – Bonjour.
KAMAYITI – Je vais donc commencer par vous poser la question traditionnelle : si je devais expliquer le contenu de votre livre à un enfant de 10 ans, que devrais-je lui dire pour le convaincre de se procurer votre ouvrage, Moïse l’africain?
Nillon – Tout simplement, en lui expliquant que dans l’histoire de l’humanité, tous les personnages ne sont pas forcément blancs. Je pense que cela peut l’intéresser de savoir que celui qui donne la loi, la Torah, sur laquelle vont s’appuyer Jésus, Mahomet, est un noir comme lui-même, à savoir Moïse, et cette histoire s’est déroulée en Égypte, en terre africaine.
KAMAYITI – D’accord, au sujet de l’éveil africain, en quoi votre livre peut-il y contribuer ?
Nillon – Oui, mais il y a un travail préalable à effectuer. Je dis souvent : quand vous avez un verre et que celui-ci est rempli, vous ne pouvez rien rajouter, sinon ça déborde ; il faut d’abord « verser le verre », le vider. En d’autres termes, il faut faire un travail sur la spiritualité des personnes car certains sont musulmans, d’autres chrétiens ou juifs. Donc il faut faire un travail pour qu’ils sachent enfin sur quoi repose leur foi, voire enlever tout ce qu’on a rajouté, voilà ce que j’appelle « verser le verre ». Il faut ensuite présenter le personnage de Moïse et je pense que c’est là qu’il y aura un éveil spirituel pour l’Afrique et pour l’homme noir en général.
KAMAYITI – Est-ce que la situation catastrophique dans laquelle se trouve l’Afrique aujourd’hui est liée directement à l’abandon de sa base spirituelle ?
Nillon – Je le pense, oui, mais tout le monde ne partage pas cet avis. Souvent on essaie de comprendre ; par exemple, pour l’esclavage, on parle de la justification de l’esclavage et non pas des causes et en théologie, c’est ce que l’on nomme étiologie ; c´est-à-dire l’étude des causes, pourquoi telle chose arrive ?
Si je mets un objet au bord de la table, il va tomber, et si je n’ai pas compris pourquoi il est tombé, je continuerai indéfiniment à le remettre et ça va continuer à tomber, alors qu’il suffit que je comprenne que la chute de cette chose est due à un déséquilibre. Nous, nous étudions l’Histoire, et non le sens de l’Histoire. Pourquoi un évènement arrive ? Et quelles sont les conditions pour que cela arrive ? Et je pense qu’au niveau de la religion et de l’Afrique, c’est pareil. Pour l’Afrique, tant que l’on n’étudiera pas quelles sont les conditions qui ont fait en sorte qu’on en arrive là, il n’y aura pas d’éveil, donc pas de renaissance.
KAMAYITI – On parle souvent de l’Afrique, il y a aussi les descendants africains à travers le monde, la diaspora est aussi concernée ?
Nillon – Oui, mais quand je parle de l’Afrique : je parle aussi de sa diaspora. Quand je parle de sa diaspora, je parle de l’homme noir, celui que j’appelle Kémite.
KAMAYITI – Concernant l’économie, si l’on comprend bien, une société se construit à travers sa culture et sa religion, quel rapport vous faites à ce sujet, l’économie ?
Nillon – Je pense que le jour où les noirs se réapproprieront leur religion, à ce moment-là, ils cesseront de consommer chez les autres ; un exemple simple, imaginons un peu un noir catholique, il va en pèlerinage à Lourdes ou à Fatima, ou à n’importe quel lieu saint, pour cela il va falloir qu’il prenne le train, ou l’avion, donc il va déjà commencer par payer le transport à l’occident puis, comme il n’a pas de famille là-bas, il ira à l’hôtel et il va encore dépenser ; il faut bien aussi qu’il mange, donc encore une dépense ; et dans le lieu de pèlerinage, il va quand même acheter un petit souvenir pour montrer à ses amis qu’il a bien été là-bas. Imaginons un peu que ce noir délaisse ces religions que sont l’Islam, le Christianisme, le Judaïsme, etc.… et qu’ils retournent sur ces lieux saints en Afrique, à ce moment-là, au lieu d’aller à la Mecque, à Jérusalem, à Rome à Fatima, à Lourde, ou Saint-Jacques de Compostelle, ce noir ira en pèlerinage en Afrique, peut-être à Gorée, peut être à Oui-da ou dans n’importe quel autre lieu saint d’Afrique, à ce moment-là l’argent se retrouvera en Afrique et là on pourra avoir une vraie économie. Si vous saviez la somme que l’on dépense pour la religion, c’est incroyable et là, c’est un manque à gagner pour nous.
KAMAYITI – On dit que l’homme noir est foncièrement spirituel, pouvez-vous nous apporter une analyse sur ce fait ?
Nillon – Ce que j’explique c’est que l’univers est basé sur un système dit le dualisme : à chaque chose son inverse, comme la lumière et les ténèbres. L’homme noir est spirituel parce que l’homme blanc est matérialiste, l’homme blanc est en adéquation avec son fonctionnement logique. Je dis souvent que l’homme blanc a été créé pour faire le mal et il le fait bien ; alors que l’homme noir qui lui a été créé pour faire le bien il le fait mal, malheureusement. Alors, si on regarde bien, celui qui fait la volonté de son créateur, c’est l’homme blanc parce qu’il fait exactement ce dont pourquoi il a été créé ; ainsi, tout naturellement il s’attire la bénédiction divine. Quant à nous, tant que nous n’aurons pas pris conscience de notre mission…comme dit Frantz Fanon « il appartient à chacun de connaître sa mission de l’accomplir ou de la trahir ». Jusqu’à maintenant, nous trahissons notre mission. Il faut nous réapproprier notre religion monothéiste et guider l’humanité vers cette lumière et c’est seulement à ce moment-là que nous inverserons le cours de l’Histoire.
KAMAYITI – En quoi consiste cette mission que doivent accomplir tous les Kémites ?
Nillon – Cette mission-là ! C’est la Maat, la vérité, la justice, l’équilibre ! Il faut revenir à la religion monothéiste, dont nous sommes à l’origine, qui est la religion du Pharaon Akhenaton. Une fois que nous aurons quitté ces religions monothéistes dites révélées que sont le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam, pour revenir à notre vraie religion, débarrassée de tout ce que les autres ont rajouté, à ce moment-là, on s’attirera la bénédiction.
KAMAYITI – Mais là, si l’on parle de religion, on se doute bien que l’on va rentrer dans une confrontation avec les autres religions ?
Nillon – Non, il ne s’agit pas de confrontation, puisque ce n’est pas une guerre. Il s’agit de se réapproprier ce qui nous appartenait, donc je ne dis pas au juif de ne plus pratiquer son Judaïsme, ni au chrétien son Christianisme, ni au musulman son Islam ! Non, je dis simplement que c’est leur vision du monde et que ce n’est pas la nôtre et tant que nous continuerons à adopter leur vision, nous aurons une vision déformée. C’est un peu comme si vous aviez deux personnes qui ont un problème de vision, ils vont voir un ophtalmologiste ; malheureusement, ce spécialiste leur dit de passer ultérieurement pour récupérer leurs lunettes. Plus tard, la secrétaire se trompe et inverse leurs lunettes, donnant à Paul les lunettes de Jacques et vice versa. Et bien, ils continueront à ne pas avoir une vision claire. Nous sommes actuellement dans cette logique, dans ce système où nous voyons le monde à travers une vision sémito-centrique.
KAMAYITI – Par rapport à cette vision sémito-centrique, est-ce la raison pour laquelle, lorsque nous nous adressons à un frère noir musulman, ou Chrétien, il y a un blocage qui s’opère, du fait de cette division spirituelle ; n’est-ce pas là un problème fondamental ?
Nillon – En effet, nous aurons souvent à nous poser ce genre de questions tant que nous resterons dans cette vision sémito-centrique, car si vous prenez la vision sémito-centrique par exemple, c’est 6000 ans d’histoire et si vous prenez la vision … j’aime pas trop le mot « afrocentrique » - qui est tout simplement une vision scientifique basée sur des faits - c’est 150.000 ans d’histoire et quand vous faites le rapport 6000 ans sur 150.000 ans cela ne représente que 4% de notre histoire. Ainsi le noir qui est dans cette vision, lui-même enfouit 96% de son histoire, de sa vision, donc il ne pourra pas poser les bonnes questions, puisqu’il ne voit pas le monde tel qu’il est. Pour lui, le premier homme, c’est Adam, il est né en Mésopotamie alors que les fouilles archéologiques prouvent que le premier homme homo sapiens est né en Afrique, vous voyez donc, à la base il pèche.
KAMAYITI – Quel est le type d’organisation dont le peuple kémite a besoin pour son renouveau ?
Nillon – Nous, nous avons commencé le travail… je ne sais pas si vous êtes au courant… j’ai écrit un deuxième livre qui s’appelle La véritable Bible de Moïse dont on en parle sur le site www.Kamitik.com. Nous travaillons dans le but de nous réapproprier notre Histoire ; en fait, nous avons pris la véritable bible de Moïse, Akhenaton, que nous avons transcrit en langue Africaine et maintenant nous ne faisons que pratiquer ! Nous sommes un certain nombre, petit à petit, nous allons continuer à travailler jusqu’à ce que les noirs pratiquent leur religion. Vous savez les grandes religions ont commencé comme ça : quand vous prenez le judaïsme au début il y avait très peu de personnes. Il y avait Moïse, son frère Aaron et sa sœur Myriam donc ils étaient trois, il y avait deux personnes qui croyaient en lui, puis il y en a eu plusieurs. Vous prenez Jésus, au départ, on vous dit dans les Evangiles, que ses frères mêmes ne croyaient pas en lui, puis il a eu 12 disciples ; il y en a même qui l’ont abandonné, qui l’on trahi parmi les 12 ; 2000 ans après, voyez le nombre de chrétiens ! Prenez Mahomet, c’est la même chose, qui croyait en lui ? Sa femme Khadîdja, puis son cousin Ali. Au début personne ne croyait en lui si bien qu’il a été persécuté par les arabes, puis il s’est enfui vers l’Ethiopie, et maintenant voyez le nombre de musulmans. Au début, une religion c’est un petit groupe, et au fil des années et des siècles, ça augmente, actuellement nous sommes un petit groupe d’ici quelques siècles, rendez-vous pour voir le nombre de kémites qu’il y aura.
KAMAYITI – Donc vous voyez la renaissance du peuple Kémite en plusieurs siècles ? Nillon – Bien sur, il faut être réaliste !!!
KAMAYITI – Lorsque l’on parle de renaissance spirituelle, on voit apparaître un certain nombre de récupérateurs, des sectes pointant leur nez, qu’en est –il du culte d’Aton ? Ce qu’il faut savoir c’est que toutes les religions se basent sur tout ce qui existait déjà, quand je prends pas exemple la religion d’Akhenaton, c’est plutôt un retour au monothéisme qui existait au préalable qu’on a oublié. En gros, il (Akhenaton) n’a rien inventé mais d’après les documents officiels ; « puisque l’histoire commence avec l’écriture » c’est la plus ancienne trace du monothéisme. Vous prenez le Judaïsme qui a été institué en 398 par Esdras mais sur la base de la religion d’Akhenaton, voyez ! le Christianisme même se base sur le Judaïsme qui, ne l’oublions pas, s’était basé sur le culte d’Akhenaton, puis l’Islam arrive à son tour se basant aussi sur ce qui a été écrit. Donc, les différentes sectes qui existent maintenant comme la franc-maçonnerie, les Rosi-Crutiens, les Raeliens etc., c’est sûr qu’il y a récupération puisqu’on ne peut créer à partir de rien, il n’y a que Dieu qui puisse le faire, nous nous transformons.
KAMAYITI – Parfait ! si je comprends bien, c’est l’information qu’il faut rapporter au plus grand nombre ainsi qu’à un enfant de 10 ans ?
Nillon – Oui.
KAMAYITI – Et cela peut donc donner à cet enfant une approche plus Africaine ? Nillon – Oui, tout a fait !
KAMAYITI – Très bien, maintenant, avez-vous des projets pour l’Afrique ? Nillon – J’ai, en effet, des projets : non seulement sur le continent mais aussi, partout où il y a des noirs, pour que tous ces noirs puissent retrouver leur religion et bâtir des temples pour leur Dieu tout simplement : c’est le projet ; c’est qu’il y ait un temple dans les Caraïbes, en Amérique, en Europe, en Afrique et partout où il y a des noirs, partout où nous nous trouvons.
KAMAYITI – Aujourd’hui même, on peut pratiquer sans ambiguïté le culte Atonien ?
Nillon – Moi, je le pratique et je ne suis pas le seul ! Nous n’avons pas de temples, mais nous nous réunissons chez-moi, donc le jour où nous aurons un temple, je suis certain que les frères y viendront par milliers, ils n’attendent que ça !
KAMAYITI – Le culte Atonien qui date de … ?
Nillon – … de l’époque d’Akhenaton, c´est-à-dire il y a : 3500 ans, alors que l’Islam, le Judaïsme, le Christianisme n’existaient pas.
KAMAYITI – Je pense que vous nous donnez là déjà une très bonne approche de votre ouvrage Moïse l’Africain sans oublier la Véritable Bible de Moïse ?
Nillon – C’est un compte d’auteur que l’on peut retrouver sur le site www.Kamitik.com et la librairie ANIBWE. – Je vous remercie Mr Nillon de m’avoir accordé cet entretien.
Article relayé du site www.kamitik.com
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